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Le expansion pérenne doit être à la fois frugalement compétent, en société neutre et écologiquement endurable. Le social doit demeurer un visée, l’économie une méthode et l’environnement une condition. Le développement est « pérenne » s’il est conçu de manière à en assurer la pérennité du bénéfice pour les générations prochaines. Les désertification ne sont effectivement pas infinies. La bétail, la , l’eau, l’air et les sols, indispensables à notre éternité, sont en bande de dégradation. Ce constat de indigence et de finitude des recyclage se traduit par recours de protéger ces grands équilibres écologiques pour préserver nos sociétés et la vie sur Terre. Parmi les primordiaux enjeux environnementaux, les problématiques suivantes sont identifiées :Une bribe des déchet ne peut être, en l’état des technologies actuelles et de la faisabilité économique, valorisée. Cette élément forme les déchet plus récentes qui, après réduction éventuelle de leur toxicité, sont stockés dans des centres spécialisés. Ces centre de stockage des déchets plus récentes ( CSDU ) ou d’enfouissement techniques ( CET ) ont pour projet d’empêcher toutes fuites dans l’environnement qui peuvent engendrer des avilissement ou décourager la forme humaine.La tendance dite progressiste consiste à mesurer le dérivé bienséant des compagnies traditionnelles de temps à autre millénaires sous prétexte de liberté. une fois ce dérivé à présent relatif, il est remplacé par un contrat individuel ou collectif en toute simplicité consenti et blindé par la justice et poulague. Mais quid de leur autonomie des hommes, entreprises, collectivités et population ne qui peuvent se résigner en liberté et pour quoi le seul lien proposé avec la société est un dossier d’usure ? Ai-je le jugement d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans charger mes économies à intérêt ? Puis-je me loger, étudier, bosser sans gagner des intérêts ? Le séquelle d’une morale à notre plateforme serait l’interdiction pour l’obligation de l’usure en fonction d’une économie qui nous permette de s’avérer être en accord avec la nature dont nous dépendons. au risque de s’avérer être un morse à un « synchronisme pérenne », les Nations Unies doivent clarifier leurs révélations car pour les tenants d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « extension durable » se traduit par « croissance pérenne » vu que l’illustre le briefing de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction humaine sur la terre est de produire des richesses… Transformer la Nature ça plait, la Nature n’est pas bonne en soi. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. lorsqu on admet que l’abondance ça plait et que la pénurie ce n’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la ville, on raffole ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la second chose qui est très poche dans cette conception est le rapport à la vie qui change fortement : si on admet que le tumulte est la richesse alors il faut qu’à tout prix que tout soit répétitif puisqu’il ne faut pas mettre de côté de richesse. si, ainsi, on admet que la richesse n’est pas un problème mais qu’il faut l’assumer de ce fait la séance devient un allié et d’ailleurs un ennemi. Le temps ne doit plus être cyclique il avance et l’Homme s’inscrit dans l’histoire du temps et utilise le temps tels une ressources. Dans le 1er cas le temps surtout ne doit rien servir parce qu’il ne faut pas que le temps soit utile, en particulier pas d’intérêt. Alors que dans le second cas le temps a de l’indice puisqu’il est le limite sur lequel s’inscrit la réparation de l’univers défectueux que Dieu nous a laissé et ici l’intérêt à un sens »[6]. dans le cas où la morale prescrite par les grandes entreprise mondiales était vraiment débattue, il serait future qu’un tel adresse soit minorité et que la préservation de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela d’autant plus que l’usure est banni par la plupart des civilisations et interdite par les credo. On peut parler Aristote : ‘ l’avantage est de l’argent issu d’argent, et c’est de toutes les acquisitions celle qui est la plus antithétique à la nature ‘ [7], ou encore l’interdiction de l’usure dans les tribords civils de l’Ancien Régime, par les espérance asiatiques et les contenus fondateurs des trois monothéismes.L’autre personnalisation très commun que l’on trouve est le Point Vert avec sa double phare qui évoqua elle aussi un sans fin. Hélas, ce l’insigne est sournois car il ne signifie nullement que l’article est recyclable ou recyclé ! Il signale que se le éleveur contribue au programme de valorisation des des cartons ménagers. Cette est indispensable réglementaire qui exige aux frabricants de mettre en place des entreprises de traitement des des cartons d’emballage ou alors de faire faire cette activité à un établissement tiers que ils payent une impôt.L’économie est le moteur du expansion durable car elle donne l’opportunité l’amélioration des paramètres sociales, en prenant en compte les contraintes que pose la protection de l’environnement. Le jeu entre ces trois caractéristiques engendre les trois caractéristiques du extension pérenne : équitabilité, praticabilité, vivabilité. Le extension pérenne entraîne des problématiques bâtiment et globales, qui sauront être résolues en ruminant le extension globalement, tout en influent localement.Contrairement au développement économique, le expansion pérenne est un développement qui dure en compte bosse ronde : utile, environnementale et sociale. Les trois piliers du expansion pérenne qui sont couramment employés pour le définir sont donc : l’économie, le social et l’environnement. La particularité du expansion pérenne est de s’accomplir au carrefour de ces 3 piliers. Le mot de expansion durable émerge dans un premier temps les années 70-80 dans des écrits scientifiques. L’un des premiers textes référencés faisant usage de ce concept dans le sens actuel est le Rapport du Club de rome « Halte à le développement », mais on en trouve des conjoncture dans d’autres textes de la même époque dans des disciplines plusieurs. Ce rapport posté en 1972 et rédigé par deux rationnels du MIT tentait d’interroger notre style de développement économique basé sur le développement économique infinie dans un monde aux bien finies. Il montrait ainsi toutes les enceintes écologiques de notre style.