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l prévient mais aide aussi les malades déjà atteints. Ce sont les conclusions des médecins qui pratiquent l’hortithérapie. Inventé au 18ème s. par le psychiatre américain Benjamin Rush, cette thérapie par le jardinage accompagne les patients atteints d’autismes, de migraines mais aussi d’Alzheimer. Le jardinage maintient l’éveil intellectuellement. Il nécessite de savoir se repérer dans le temps et dans la taille, de savoir mémoriser le nom des fleurs et de s’armer de patience : ces critères stimulent parfaitement le mental. Le printemps est bel et bien là. Les fleurs sont en éclosion, les températures sont plus douces et les journées d’autant plus ensoleillées… L’arrivée des beaux jours est l’occasion d’apprécier les rayons du soleil, et il n’y a pas de meilleure activité que le jardinage pour cela ! Ce ne sont pas les quinquas qui diront le tout autre puisque les avantages physiques et sociologiques de cette activité ne sont plus à démontrer. D’après des chercheurs américains, le jardinage constituerait une véritable cure de jouvence et un atout santé pour les quinquas. Selon eux, le fait de contempler un cadre pleine d’ fleurs permettrait aux personnes âgées d’être en forme et d’informer certaines pathologies liées au vieillissement. de plus, si vous cultivez un potager avec des fruits et légumes, le jardinage vous aidera à bénéficier d’objets frais de qualité, donc de préserver une alimentation variée.
Sais-tu que le jardinage a des bienfaits surprenants, particulièrement sur la santé ? En plus de nous faire prendre de l’air, mettre les mains dans la terre offre une incrustée de sérotonine, un antidépresseur naturel produit par nos neurones. Et si jardiner est bon pour le moral, il est tout autant intéressant pour le climat ! On t’explique pourquoi et on t’indique quelques réflexes à choisir dès maintenant pour te faire du bien à toi… ainsi qu’à la planète ! Un potager écologique, ce n’est pas qu’une affaire de légumes ! Tu peux y semer aussi des fleurs autochtones, comme l’asclépiade ou l’amélanchier, qui participent à préserver la biodiversité tout en augmentant la résilience des écosystèmes. Certaines plantations ne peuvent se reproduire sans l’intervention d’un pollinisateur ( animaux, chauves-souris ou oiseaux ), elles ont donc besoin d’un centre de vie qui leur est favorable. Autrement dit, planter un peu de tout aide ton jardin à faire face aux changements climatiques avec panache ! Étiez-vous le genre d’enfant à refiler vos petits pois à votre chien sous la table ? À simuler un mal de ventre chaque fois qu’on vous servait des choux de Bruxelles ? À commander une salade avec extra vinaigrette et sans laitue ? Si le simple fait de vieillir n’a pas changé vos sentiments face aux légumes, les faire pousser vous-même peut vous y amener. Une revue d’études publiée en 2017 dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics a divulguer que les enfants qui avaient été initiés au jardinage mangeaient plus de fruits et de légumes.
Avant d’être bénéfique pour le corps, jardiner est façon de prendre soin de son esprit. En effet, loin des écrans et des tracas quotidiens, les vertus thérapeutiques du jardinage aident à réduire énormément le stress. Cette activité joue à chaque fois un rôle-clé dans le développement de la confiance en soi. En effet, qui n’a jamais perçu une pointe de fierté en voyant se accroitre ses propres végétaux ? il faut savoir également que la terre présente un taux important de sérotonine, autrement nommé « hormone du coup de coeur ». C’est donc prouvé, jardiner rend contents ! ainsi, en plus de lutter contre la dépression, cette activité favorise les cinq sens et la mémoire. Un bon moyen d’informer les maladies neurologiques telles que l’Alzheimer par exemple. Cultiver ses propres fruits et légumes, c’est la garantie d’une meilleure alimentation, plus équilibrée. Mais le jardinage est aussi une véritable activité physique qui, en plus de favoriser une meilleure digestion, permet de brûler de nombreuses kcal. Il stimule le immunité tout en limitant la pression artérielle. De quoi lutter contre les risques de maladies cardiovasculaires ! par ailleurs, en jardinant vous renforcez vos os et vos biceps. C’est alors un moyen d’informer les risques d’arthrose et de polyarthrite rhumatoïde. il faut savoir de plus que son action tonifiante agit sur l’ostéoporose.
si il s’agit de planter quelques fleurs en pot ou s’occuper d’un vaste jardin, on peut dire que les possibilités du jardinage, en particulier pour les personnes âgées, sont presque aussi nombreux que les fleurs elles-mêmes ( enfin, presque ). découvrons ensemble les bénéfices du jardinage sur la forme dans les lignes ci-après. a savoir que jardiner équivaut à un léger exercice d’aérobic, qui améliore la santé du cœur et de la région pulmonaire et aide à prévenir l’obésité, l’hypertension artérielle, le diabète, l’ostéoporose, certains cancers, etc. En effet, pour la plupart des gens, le jardinage est si captivant qu’ils ne remarquent même pas qu’ils font de l’exercice physique. Des analyse ont montré que l’effort physique délivré par le job dans un jardin peut contribuer à compenser la prise de poids liée à l’âge. En plus, le job dans un jardin fait appel à tous les principaux groupes de muscles de notre corps. Le jardinage rééquilibre les hormones du bonheur. En effet, cette activité augmente les style de sérotonine et de dopamine, les hormones du bien-être dans notre esprit. Il réduit à chaque instant le cortisol, l’hormone du stress. sachez qu’il y a d’immenses récompenses à planter et à entretenir un jardin. Cela donne un sens de l’objectif et de l’accomplissement en plus de encourager l’estime de soi.
Si tout cela vous apparaît un peu trop long ou complexe à instaurer, il est envisageable de réaliser un potager surélevé ( en carré ou sur buttes ). En apportant alors un mixe de terre adaptée, vous vous affranchissez des contraintes de la nature de votre sol. Pour les régions ventées, un mur de la maison ou une haie sont parfaits pour entretenir vos légumes ; à défaut, planifiez d’installer en bordure du potager des groseilliers, des framboisiers, ou bien encore du romarin ou autre laurier-sauce qui feront un rempart gourmand fort agréable. Il est toutefois bonne de ne pas oublier que, peu importe les astuces que l’on met en place pour remédier aux « imperfections » de la nature, il est évidemment mieux d’essayer de s’adapter à son milieu ; un sol argileux conviendra plutôt aux betteraves, aux épinards, aux fèves ou aux poirées tandis qu’une terre à tendance sablonneuse verra s’épanouir asperges, pastèques, pommes de terre et autres scorsonères. Et si le persil désaprouve les sols trop acides, l’oseille peut se detourner de ceux qui sont trop calcaires. enfin, si le soleil n’illumine qu’avec parcimonie votre potager, optez pour les laitues, les épinards, les cèleris, ou tout autre légume se agréable à l’ombre ou à la mi-ombre. Faire son potager c’est accepter d’y consacrer un peu ( voire même plus ! ) de son temps. Pour ne pas le perdre et se retrouver submergé par une activitée qui vous dépasse, il convient de bien dimensionner son projet avant de le commencer.
Avant toute chose, il est important de savoir quand amorcer votre potager. Été ? Hiver ? Quel est l’occasion ? Selon moi, la meilleure période pour enfiler sa tenue de jardinier est… ( roulement de tambours ) l’automne ! L’automne est l’une de mes périodes préférées. Les températures se radoucissent, les arbres changent de couleur, le temps apparait se freiner. Les feuilles tombent. Les grattoirs se préparent. Et la terre de votre potager n’attend plus que vous pour une nouvelle aventure ! Vous ne le saviez sans doute pas, mais c’est pendant la période automnale qu’il faut préparer le sol. Lorsque j’écris « préparer », je veux dire : amender, , mettre en place. Certaines personnes vous suivent de démarrer votre potager au printemps. À première vue, rien de plus logique : c’est à cette période que l’on plante et sème ses premiers légumes. Mais comme un gâteau ne peut se cuisiner sans éléments, des légumes ne peuvent pousser sans une bonne terre. Et la recette miraculeux d’une « bonne terre » n’a rien de complexe. Amendement, fertilisation, délimitation, organisation… À démarrer dès les mois d’octobre/novembre ! Nous voici à ce moment arrivés à la seconde phase de la conception de votre potager : l’emplacement. C’est au cœur de chez vous que se cache l’endroit idéal. Un coin tranquille où maintenir votre petit cocon extérieur. Tranquille ? Oui… mais pas que ! Pour voir grandir vos légumes à vue d’œil, vous aurez besoin d’une bonne proximité. Chaleur et lumière sont les meilleurs compagnons de vos plantes chéries. Ainsi, l’emplacement de votre futur potager se doit d’être le plus ensoleillé possible. la meilleure solution ? Plein Sud !
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